Archives 2021-2022

Au début du mois de juin, Sophie Peillon, Chercheure à l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Laboratoire Coactis, Institut Mines-Télécom était à Annecy pour présenter une communication lors de la 31^ème conférence de l’Association Internationale de Management Stratégique. Son approche, visait à répondre aux deux questions suivantes : comment les PME industrielles utilisent-elles l’ambidextrie pour soutenir leur stratégie de servicisation ? Quels sont les antécédents organisationnels de l’ambidextrie dans ce contexte ?

Fin juin, Sophie Peillon était à Lille pour la « Business Model Conference » où elle présentait une communication conjointe avec Jean-Michel Degeorge, Chef du département Management Responsable et Innovation à l’Institut Fayol et Amina Hamani,  post doctorante dans ce même département.

Le sujet de la communication était « Supporting startup sustainability: Challenges of the interplay between business model innovation and digitalization » .

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Du 16 au 18 juin se tenait la conférence ENTRENOVA en Croatie. A cette occasion Michelle Mongo, Chercheure à l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Laboratoire Coactis, Institut Mines-Télécom, co-présentait une communication dans le cadre d’une collaboration au sein du réseau de recherche sur l’innovation RRI.

Cette communication était intitulée, Industrial and Organizational Mutations in the Medical and Pharmaceutical Sectors Impulsed by Open Innovation During the Pandemic, et les auteurs sont, par ordre alphabétique, Laurent Adatto, Laboratoire Innovations et Stratégies Industrielles, Université du Littoral Côte d’Opale, Camille Aouinaït, Réseau de Recherche sur l’Innovation , Son Ti Kim Le, Laboratoire Innovations et Stratégies Industrielles, Université du Littoral Côte d’Opale et Michelle Mongo, Mines Saint-Étienne, Laboratoire Coactis.

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#Coactis

Ce lundi 20/06/2022 de 8h30 à 17h, l’École des Mines de Saint-Étienne vous acueille dans sa « maison du parc » pour un séminaire pour scientifiques dont le sujet sera « Comprendre et décoder le chaos grandissant Identifier le rôle de la science dans le monde à venir ».

Au programme :
– Identifier l’ensemble des problématiques autour du sujet « Quelle science dans le monde qui vient ?». Première synthèse
– Conférence-Débat d’Olivier Frérot avec une proposition pour comprendre les transformations profondes en cours dans notre société et les conséquences pour la vocation à venir de la science
– Complément aux problématiques, deuxième synthèse, puis priorisation.

Les animateurs :
Olivier Frérot, polytechnicien, chercheur, conférencier, auteur et décodeur de la métamorphose en cours. Ancien directeur de la DDE de la Loire et de l’agence d’urbanisme de Lyon.
Soazig Hernandez, Sociologue formatrice, accompagnatrice au changement écologique chez La Spirale des possibles Oxalis scop.

Ce séminaire est organisé par Nadine Dubruc, enseignante chercheure à l’Institut Henri Fayol de Mines Saint-Étienne, membres du laboratoire COACTIS.

Contexte :
La science et la recherche aujourd’hui est-ce : Du management et de la recherche de crédits ? Des fonctionnements subordonnés à la technologie ? Une démarche inutile puisque la statistique et les big data évite de comprendre ? Une croyance aveugle dans un progrès conduisant l’humanité au bonheur ? La solution miraculeuse à tous les problèmes de la planète ? Par rapport à ces questionnements et bien d’autres, un mal-être se développe chez de plus en plus scientifiques et notamment les plus jeunes ; des dysfonctionnements dans les institutions scientifiques freinent la conduite des recherches ; des chercheurs s’interrogent sur leurs rapports à la société notamment dans le contexte du dérèglement climatique, de la crise de la biodiversité, ou de la raréfaction des ressources primaires. Or, beaucoup de scientifiques demeurent animés par l’énergie qui les a fait choisir cette voie : joie et volonté de comprendre les phénomènes, tant pour les sciences de la nature que pour les sciences humaines, développer des projets de recherches collaboratifs, débattre de façon approfondie des résultats de ses découvertes et de celles des autres. Ils s’interrogent sur la possibilité de continuer à faire cette science qu’ils aiment faire.

#Coactis

Ce mercredi 15 juin, dans le cadre des journées du laboratoire EVS 2022 (Environnement, Ville et Société), l’Institut Henri Fayol a eu le plaisir d’héberger le congrès des doctorants et la session dédiée aux Personnels d’accompagnement de la recherche.

Durant cette journée, les doctorants, ont également exposé leurs œuvres d’art (Peinture, photographie et dessin), une occasion d’’échanger sur l’art et l’expérience de la recherche.

En résumé, une « journée recherche » riche en enseignements et échanges.

#EVS

Après la venue du Pr Mathias Glaus de l’ETS de Montréal, dans le Département Génie de l’environnement et des organisations (GEO) le mois dernier, c’est au tour de notre équipe de chercheurs de faire une visite à nos confrères montréalais.

Jonathan Villot, chercheur à l’Institut Fayol de Mines Saint-Étienne, membre du laboratoire EVS et Michelle MONGO, chercheure à l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Institut Mines-Télécom et Laboratoire Coactis sont en visite à Montréal où ils organisent un atelier lors de L’École d’été Économie circulaire : une transition incontournable qui se tient du 6 au 11 juin 2022.

Cet atelier porte sur la controverse minière avec comme exemple le Jeu de rôles – « Les métaux de la transition : Controverse et économie circulaire ».

Egalement au programme de ce déplacement outre-Atlantique, des échanges avec les chercheurs de Montréal sur le projet « Synergie » : sur le montage de formations communes en économie circulaire dont les partenaires sont (EMSE, ETS et Université de Sherbrooke), et le projet « Francophonie » : avec la Francophonie sur le projet d’écriture d’un ouvrage sur l’économie circulaire dans les pays en développement.

#EVS #Coactis

Ce 9 juin à partir de 10h, dans le cadre des showrooms de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne, Nurten Messalti,  ingénieur R&D de l’Institut Fayol, et Jean Denis Garcin de l’UIMM Loire Drome Ardeche, vous apporteront un éclairage sur les potentiels des technologies immersives dans l’industrie pour notamment le contrôle, la maintenance et la formation des collaborateurs avec l’IT’mFactory.
 
IT’m Factory est une plateforme co-construite entre L’Ecole des Mines de Saint-Étienne et l’UIMM de la Loire et qui a pour vocation d’accompagner les entreprises dans leur transformation digitale à travers une immersion dans l’Industrie du Futur, par la sensibilisation, la formation et le transfert de technologie. Nos domaines d’intervention : l’intégration de l’homme au centre de la transformation, l’assistance numérique des opérateurs, les architectures des systèmes d’information, l’agilité des organisations, le management environnemental,…

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#Coactis #EVS #LIMOS

Du 16 au 18 mai 2022, se sont tenues les journées de l’Optimisation à HEC Montréal au Canada.
A cette occasion, Rodolphe Le Riche, chercheur CNRS à Mines de Saint-Étienne (au Laboratoire d’Informatique, de Modélisation et d’Optimisation des Systèmes, LIMOS) était invité à présenter sous le titre « Which Gaussian Process for Bayesian Optimization? » ses travaux portant sur l’utilisation des processus Gaussiens pour l’optimisation, une des spécialités du Département Génie mathématique et industriel de l’Institut Fayol.

En guise d’introduction, et dans un souci de vulgarisation, Rodolphe Le Riche propose une parabole narrant l’histoire d’un « personnage », l’inspecteur BO (pour Bayesian Optimization). A travers les manies de cet inspecteur, ce sont des méthodes mathématiques qui sont présentées. Elles ont notamment été développées pendant les thèses de David Gaudrie et Adrien Spagnol, réalisées dans notre Ecole Doctorale SIS et co-encadrées par Rodolphe. Notons également la contribution comme co-auteur de Victor Picheny, un ancien élève de Mines Saint-Étienne, maintenant Directeur Scientifique de l’entreprise SecondMind à Cambridge.

Conférenciers pléniers et les organisateurs de la conférence (de gauche à droite : Andreas Wächter, Northwestern University, USA ; Rodolphe Le Riche, CNRS LIMOS / EMSE ; Léo Liberti, CNRS LIX Ecole Polytechnique ; Sara Séguin et Sébastien Le Digabel, GERAD, Montreal, Canada ; Claudia Alejandra Sagastizábal, Unicamp, Brazil).

Résumé :

Bayesian Optimization (BO) is a popular approach to the global optimization of costly non-convex functions in moderate dimension.
BO is based on Gaussian processes that are iteratively learned and serve as a model to control the exploration-exploitation trade-off through an acquisition criterion.
Much of the recent research on BO has focused on new acquisition criteria and the specialization to specific problems (e.g., uncertain or multi-fidelity contexts).
In this talk, on the contrary, we consider a standard black-box single objective problem and a standard acquisition criterion, the expected improvement.
The focus is the Gaussian process (GP) and how it can be modified to improve the optimization.
Three directions for progress are discussed: the trend of the GP, the adaptation to higher dimension by a linear embedding, and the collaboration between a global and a local GP through a trust-region mechanism.

#Limos

Michelle Mongo, Sophie Peillon, Julien de Benedittis et Nadine Dubruc, chercheurs à l’Institut Henri Fayol, IMT, membres du laboratoire Coactis, présentent les premiers résultats de leur projet SobrIT (financé par la Fondation du Crédit-Agricole Loire-Haute-Loire) lors du séminaire Marsouin des 19 et 20 mai 2022 à Brest.

Leur étude vise à analyser l’adoption des pratiques de Green IT dans 500 organisations françaises (principalement des PME) au travers du cadre TOE (Technologie – Organisation – Environnement). Les résultats montrent l’importance du contexte organisationnel (soutien de la direction, compétences) pour l’adoption de ces pratiques. Les aspects liés aux contextes technologique (notamment l’infrastructure du SI qui se prête à l’adoption de ces pratiques) et environnemental (en particulier les pressions normatives des clients et des fournisseurs) ont également une influence significative.

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Le Séminaire Marsouin 2022

#Coactis

Ce 16 mai, avait lieu, à Télécom Paris, l’atelier annuel du laboratoire commun Seido sur la cybersécurité et l’internet des objets dans les systèmes et réseaux électriques qui rassemble la R&D de EDF et l’Institut Mines Télécom.

Antoine Zimmermann, enseignant chercheur Mines Saint-Étienne, Institut Mines-Télécom et LIMOS, et Zehor-Thilleli HOUNAS, (doctorante sous la direction d’Antoine Zimmermann), au Département Informatique et Systèmes Intelligents de l’Institut Henri Fayol s’étaient déplacés pour présenter le sujet de thèse de Zehor (thèse CIFRE chez EDF) sur « une approche hybride de modélisation sémantique et de co-simulation pour une meilleure prise en compte des phénomènes physiques dans un bâtiment intelligent« .

Cet atelier était l’occasion de découvrir les nombreux sujets de thèse proposés dans le cadre du laboratoire commun Seido, de faire le bilan des travaux passés et de tracer les ambitions futures.

Notons que les thématiques du Seido font écho à plusieurs sujets de recherche également explorés par  l’Institut Fayol, tels : sécurité et confiance, internet des objets, systèmes décentralisés, efficacité énergétique et GreenIT, smart grids/smart home/smart building, utilisant souvent diverses techniques d’IA telles que le machine learning ou la représentation des connaissances.

En résumé, une « journée recherche » riche en enseignements et échanges.

#LIMOS

Les Rencontres internationales d’Aix-en-Provence réunissent tous les deux ans le monde académique et des praticiens sur des sujets d’actualité du droit et des relations internationales depuis
1991.

Pour cette année, les organisateurs, l’UMR DICE, Sciences Po Aix et l’Institut méditerranéen pour la transition environnementale (ITEM). proposaient de se pencher sur le concept de « limites planétaires ».

Natacha Gondran,  enseignante-chercheur en évaluation environnementale au Département Génie de l’Environnement et des Organisations de l’Institut Henry Fayol et déléguée au développement durable de Mines Saint-Étienne, co-auteure, avec Aurélien Boutaud, du livre « Les limites planétaires » aux éditions La Découverte, était invitée à intervenir sur : Le franchissement des limites planétaires : quelle évolution et quelles perspectives ?

Le concept de « limites planétaires » se réfère à un article de Nature paru en 2009, qui postule que la Terre présenterait neuf seuils biophysiques qui seraient – non sans liens entre eux – de véritables frontières à ne pas dépasser pour éviter des modifications brutales, non-linéaires, potentiellement catastrophiques et largement imprévisibles de l’environnement. Ils portent sur le changement climatique, la couche d’ozone dans la stratosphère, l’acidité des océans, les transformations de l’occupation du sol, la perte de biodiversité, la consommation d’eau douce, les cycles de l’azote et du phosphore, la pollution aux aérosols atmosphériques, la pollution chimique. Nous aurions déjà atteint le point de basculement pour au moins cinq frontières, s’agissant de l’intégrité de la biosphère et notamment de la perte de biodiversité, des cycles biogéochimiques (azote, phosphore), de la déforestation et des changements climatiques et tout récemment de la pollution chimique.

#EVS

L’institut Henri Fayol est fièr de participer à l’organisation du PHISIC 2022 – Workshop sur les innovations matérielles pratiques dans la mise en œuvre et la caractérisation de la sécurité qui se tiendra les 17 et 18 mai à Gardanne. 

Dans le domaine de la sécurité matérielle, suite à l’introduction des attaques Meltdown et Spectre, 2022 a vu le développement de nombreuses attaques micro-architecturales. De nouveaux canaux secondaires émergeants ont également été signalés et permettent de mener des attaques physiques à distance (par exemple, screaming channels, FPGA-hammer). Dans l’idée de rendre la cryptographie aussi légère que possible (LWC) et à aussi long terme que possible (cryptographie post-quantique), la nécessité d’implémenter efficacement la cryptographie émergente sur le matériel de manière sécurisée est de plus en plus évidente. Ceci est par exemple illustré par deux processus de normalisation concurrentiels en cours (NIST post-quantique et cryptographie légère).

Dans ce contexte, le Workshop  PHISIC 2022 vise à fournir un environnement d’échange entre les experts académiques et industriels du domaine de la sécurité embarquée.

A cette occasion, Philippe Jaillon, Enseignant chercheur au département Informatique et systèmes intelligents de l’Institut Henri Fayol, de Mines de Saint-Étienne, membre de l’équipe de recherche Systèmes et Architectures Sécurisés (SAS), commune au CEA et de Mines de Saint-Étienne, participe au comité scientifique de ce rendez-vous incontournable de la sécurité hardware.

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Le Printemps de l’Innovation 2022 se tiendra du 21 au 23 mars depuis Béthune se déroulera en ligne. A cette occasion Michelle MONGO, enseignante chercheure de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Institut Mines-Télécom et Laboratoire Coactis, aura le plaisir de co-animer la session intitulée « pétrosources versus biosources nouveaux usages, nouveaux marchés ».

L’objectif du Printemps de l’Innovation 2022 est de promouvoir un dialogue pluridisciplinaire associé aux expériences de terrain sur les nouveaux usages de la biomasse, et des plantes en particulier, dans le cadre de la bioéconomie. Les questions relatives aux innovations technologiques et organisationnelles mais aussi de la prise en compte des impacts environnementaux et sociaux dans le développement et la structuration des filières biosourcées seront au cœur des réflexions.

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#Coactis

Les 7 et 8 avril 2022 l’Institut Fayol participera aux Journées de la Cyber, un évènement co-organisé par DIGITAL LEAGUE, le CLUSIR, l’ADIRA et l’ENE, qui propose deux jours pour ; comprendre, se préparer, agir, se relever, bref vous mettre à niveau sur la cybersécurité.

A cette occasion, Philippe Jaillon, Enseignant chercheur au département Informatique et systèmes intelligents de l’Institut Henri Fayol, de Mines de Saint-Étienne, membre de l’équipe de recherche Systèmes et Architectures Sécurisés (SAS), commune au CEA et de Mines de Saint-Étienne, participera à la Table ronde « Menaces futures ».

L’objectif de cette table ronde est de questionner les menaces pèseront sur nos organisations dans les mois et années à venir. De l’accélération des menaces de ransomwares à la cryptographie post-quantique, découvrez les enjeux, les tendances et les solutions pour mieux affronter l’avenir.

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L’Institut Mines-Télécom organise des séminaires en ligne dans le cadre du groupe Développement Durable et Responsabilité Sociétale des Entreprises de sa thématique phare « Transformation numérique responsable des organisations ».

Pour cette session du 10 mars 2022, Marleine Semaan, doctorante au sein du Laboratoire d’économie appliquée de Grenoble et à l’école doctorale d’économie de Grenoble et Michelle Mongo enseignante chercheure de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Institut Mines-Télécom et Laboratoire Coactis, ont présenté leurs travaux de recherche sur « La diffusion des innovations « grassroot » dans les pays en développement : le cas de la voûte nubienne« .

Leur étude s’intéresse au processus de diffusion des innovations « Grassroots » dans le secteur du bâtiment. Les innovations Grassroots se définissent comme des « networks of activists and organizations generating novel bottom-up solutions for sustainable development; solutions that respond to the local situation and the interests and values of the communities involved » (Seyfang and Smith, 2007; p. 585). Elles émergent le plus souvent dans les pays en développement et dans lesquels les contraintes en matière de disponibilité des ressources (infrastructures, matière première, compétences, finance, etc.) sont les plus marquées. Dès lors, comprendre les mécanismes de diffusion de ces innovations constitue un enjeu majeur dans la perspective de résolution de problèmes mondiaux tels que les défis climatiques et la pauvreté. Le choix du secteur du bâtiment se justifie par les difficultés inhérentes à ce secteur (besoin croissant de logements, prix élevés, utilisation de matériaux polluants, destruction d’écosystème naturel, secteur informel majoritaire) et cela plus particulièrement dans les pays en développement et notamment en Afrique. En effet, avec un milliard de nouveaux habitants dans les villes à l’horizon 2050, l’Afrique doit relever le défi d’une urbanisation durable et résiliente. Afin de répondre à la problématique de recherche, nous analyserons le cas de l’association « la voûte nubienne ». Cette dernière propose un procédé architectural antique permettant de construire avec un outillage basique, des matériaux locaux et des compétences techniques simples des habitations aux toitures voûtées et utilisant de la terre crue séchée au soleil. La VN a diffusé ces méthodes de construction dans de nombreux pays en Afrique. Il s’agira dès lors pour nous de mettre en évidence les mécanismes et processus qui ont soutenu la mise à l’échelle, la réplication, l’adaptation et/ou l’institutionnalisation de la voûte nubienne. A partir d’entretiens semi directifs en direction des différentes parties prenantes et de l’étude des archives de l’association, nous analyserons le type de marchés créés, les différents acteurs impliqués, les interactions entre eux et les caractéristiques contextuelles (éducatives, culturelles, sociales) susceptibles d’influencer la diffusion de ces innovations.

#Coactis

Les Journées MAGIS organisées du 21 au 23 mars 2022 à Grenoble seront un moment privilégié pour prendre connaissance des feuilles de routes des 5 chantiers transversaux et des 14 groupes de travail (actions de recherche – AR) qui rythmeront l’activité du GdR pendant les 5 prochaines années.

Ces journées sont organisées autour d’une session plénière qui se déroulera en présentiel (lundi 21 mars après-midi et mardi 22 mars toute la journée) et d’ateliers organisés en présentiel ou en mode hybride qui se tiendront en amont ou en aval de la plénière.

A cette occasion, Mireille Batton‐Hubert, enseignante chercheure de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, Institut Mines-Télécom et Laboratoire Limos, présentera une communication sur l’Incertitude épistémique : des données aux modèles en géomatique, une action de recherche menée en collaboration avec Eric Desjardin (CReSTIC) & François Pinet (INRAE).

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#LIMOS

Rodolphe Le Riche, chercheur au CNRS (LIMOS) et membre de l’Institut Fayol aux Mines de Saint-Étienne co-organise la conférence annuelle du groupe de recherche MASCOT-NUM se tiendra à Clermont Ferrand les 7, 8 et 9 juin 2022.

Les principaux thèmes scientifiques seront la quantification d’incertitudes et son lien avec l’apprentissage automatique avec un accent particulier sur l’apprentissage profond.

Cette édition sera franco-allemande avec la moitié des chercheurs invités venant d’Allemagne.

Cet événement est principalement soutenu et organisé par le réseau de recherche français du CNRS MASCOT-NUM.

Site web de l’événement.

#LIMOS

Venez visiter notre stand virtuel lors du Project Management Professional Days organisé par le PMI France du 19 au 21 janvier 2022.

Cette Conférence / Job Fair PMPD 2022 sera le quatrième rendez-vous du genre et le deuxième 100% numérique grâce à la plate-forme animée en 3D fournie par vFAIRS.

Les visiteurs auront l’occasion de dialoguer avec des professionnels de la gestion de projet, des représentants des ressources humaines, de publier leur curriculum vitae, de sélectionner des offres d’emploi publiées par des entreprises et de passer des entretiens individuels en direct lors de sessions de recrutement rapide. Ateliers et Webinaires vous permettront également de tout savoir sur ces entreprises.

Les étudiants pourront également découvrir l’offre de formation de Mines Saint-Étienne et notamment son Mastère Spécialisé Management de la Transition Industrielle, coordonné par Khaled Médini,  chercheur à l’Institut Henri Fayol, IMT, membre du laboratoire LIMOS.

Job Fair PMPD 2022, c’est  :

• Plus de 400 postes (Stages, CDD, CDI, Alternances)
• 22 entreprises partenaires
• 7 écoles partenaires
• Plus de 400 inscrits
• De nombreux Wébinaires, Ateliers, entretiens en tête-à-tête
• Cela commence mercredi prochain (19 Janvier)

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« À l’Ecole de l’Anthropocène » qui se déroulera du 24 au 30 janvier prochains, se veut une Université ouverte, sensible, citoyenne sur le changement global.

Depuis sa première édition, en 2019, À l’Ecole de l’Anthropocène, proposé par l’Ecole urbaine de Lyon – Université de Lyon, poursuit l’expérimentation réussie de créer un espace novateur de partage des savoirs et de débat public, ouvert à toutes et tous, sur la question de l’Anthropocène*, un terme de plus en plus utilisé fréquemment en dehors des cercles académiques.

Cette démarche pionnière unique en France, de dimension internationale, consiste à faire école en croisant, à travers divers formats, les approches scientifiques, culturelles et citoyennes. Durant ses trois précédentes éditions, elle a fait ses preuves et rencontré un large écho auprès d’un public diversifié.

Au regard des sujets qu’elle explore, déterminants pour l’avenir des générations futures, et d’une large place réservée à la jeunesse dans sa programmation, (notamment via la participation du collectif Youth for Climate), cette 4ème édition s’inscrit naturellement au titre de Villeurbanne 2002, capitale française de la Culture, où elle a la chance d’être accueillie par un lieu dynamique et emblématique de la cité, le Rize.

Mines Saint-Étienne est membre fondateur de l’École Urbaine de Lyon.

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Bienvenue à Pascale Braconnot

Ce lundi 15 novembre, Mines Saint-Étienne a le plaisir d’accueillir, Pascale Braconnot rapporteur du Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC), directrice de recherche au CEA et membre du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE UMR8212) de l’Institut Pierre Simon Laplace.

Médaille 2009 Milutin Milanković  de l’European Geophysical Union.

#EVS #Coactis

Le Collectif Pour Une Transition Citoyenne Dans La Loire (CTC 42) organise une conférence-débat le jeudi 18 Novembre à 18h30 à Saint-Étienne. L’un des buts de ce Collectif, de 70 organisations dans la Loire, est de participer à l’éducation populaire, en proposant divers sujets touchant au « Penser Global », ou à « l’Agir Local ».

Le CTC 42 propose deux conférences suivies d’un atelier-échange-débat, pour découvrir les enjeux, les études et projets locaux, le projet de « cité de l’économie circulaire » conduite par Saint-Étienne Métropole et la cité du Design et en lien avec les structures de l’ E S S .

A cette occasion Audrey Tanguy, enseignante-chercheur au département Génie de l’environnement et des organisations de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, membre de l’IMT et du laboratoire EVS, donnera une conférence sur les enjeux d’une gestion territorialisée des déchets et sur les indicateurs pour évaluer les solutions proposées ?

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#EVS

L’association Les PEP42 (Pupilles de L’Enseignement Public) fête, ce vendredi 22 octobre, ses 100 ans.

A cette occasion, elle organise une rencontre autour des enjeux du handicap au Centre des Congrès « Les Foréziales », à Montrond-Les-Bains. Outre des stands, une table ronde et la projection du Film « Les PEP 42 100 ans après… », un colloque proposera un temps d’échange et de réflexion sur le thème de « Regards croisés sur les actions inclusives mises en œuvre dans le cadre de l’accompagnement des personnes en situation de handicap ».

Nadine Dubruc, enseignante chercheure à l’Institut Henri Fayol de Mines Saint-Étienne, membres du laboratoire COACTIS, est invitée à intervenir sur « L’accompagnement organisationnel et managérial du virage sociétal inclusif ».

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#Coactis

Suite à l’édition de l’année dernière et son succès, IMT & TUM organisent un nouvel « Industrial workshop » avec le soutien de l’Académie Franco-Allemande pour l’industrie du futur. Il se tiendra le 23 novembre, à Mines Saint-Étienne, dans le cadre de la conférence PRO-VE 2021 :  Smart and Sustainable Collaborative Networks 4.0.

Des conférenciers académiques et industriels engagés dans le génie industriel ont été invités à participer ce workshop et à explorer le sujet de cette année autour des réseaux collaboratifs 4.0 et leurs implications en termes sociétaux et environnementaux.

Cette journée, permettra de :

• Proposer des défis collaboratifs pour la recherche industrielle,
• Fournir des preuves de diverses formes de recherche collaborative,
• Discuter des enjeux liés à l’industrie du futur et aux systèmes de production reconfigurables.

L’objectif est de fournir une plate-forme d’échanges interdisciplinaires et de créer une base pour d’autres programmes d’innovation industrielle et collaborations de recherche.

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Programme

#LIMOS

Pour ouvrir son cycle de débat « BorderLine », la Mission Agrobiosciences-INRAE, avec l’appui du Salon « Au Tour du Livre », propose d’ancrer sa séance inaugurale au sein du monde rural et de prendre la mesure, collectivement, des différentes limites qui se posent aujourd’hui et dans un futur proche aux systèmes agricoles.

Le samedi 18 septembre, de 16h00 à 18h00, BorderLine débutera donc avec un thème ô combien d’actualité : les limites planétaires et leurs conséquences pour l’agriculture. Il sera notamment l’occasion d’un débat entre Natacha Gondran,  enseignante-chercheur en évaluation environnementale au Département Génie de l’Environnement et des Organisations de l’Institut Henry Fayol et déléguée au développement durable de Mines Saint-Étienne, coauteure de «  Les limites planétaires  » (Editions La Découverte, 2020), et Benoît Daviron, économiste au Cirad, auteur notamment de « Biomasse, une histoire de richesse et de puissance  » (Editions Quae, 2020).

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#EVS

Mardi 28 septembre, Jean-Michel Degeorge, Responsable du département Management responsable et innovation de l’Institut Henri Fayol et Nadine Dubruc, enseignante chercheure à l’Institut Henri Fayol de Mines Saint-Étienne, membres du laboratoire COACTIS animeront un atelier sur les thèmes de « la mobilité et des conséquences sur la culture d’entreprise », dans le cadre d’un séminaire interclubs sur les enjeux et solutions liés au télétravail.

L’épidémie de COVID-19 a modifié en profondeur nos façons de travailler et a accéléré le déploiement du télétravail. Fortement plébiscité par les salariés, il est aujourd’hui difficile de faire sans. Aussi, les clubs ACCTIFS, CLEO, ESTER, CLUB GIER ENTREPRISES, en partenariat avec la CITÉ DU DESIGN, vous proposent de participer à 4 ateliers collaboratifs sur les enjeux et solutions liés au télétravail.

Ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la Semaine du Développement Durable organisée sur le territoire de Saint-Étienne Métropole.

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#Coactis

L’école d’été sur les technologies de l’IA pour la confiance, l’interopérabilité et l’autonomie dans l’industrie 4.0 se tiendra du 26 au 30 juillet 2021 à l’école des Mines de Saint-Étienne. Cette école d’été est organisée dans le cadre d’une collaboration entre des institutions françaises et allemandes : l’école des Mines de Saint-Étienne, l’Université Jean Monnet, l’Université technique de Munich, l’Université de St. Gallen et l’Université de Nuremberg.

Cette école d’été, soutenue par l’Académie franco-allemande pour l’Industrie du Futur et l’université franco-allemande, s’adresse essentiellement aux les doctorantes, doctorants, chercheurs et chercheuses en début de carrière du monde académique ou de l’industrie.

Les participantes et participants seront conviés à travailler intensivement sur des « use case » concrets issues de l’industrie. Une grande partie du programme sera dédiée à des sessions pratiques tout en donnant un aperçu des bases théoriques et de l’état de l’art qui sous-tendent les expérimentations.

Le nombre de participants sur le site est limité à 40 personnes. La participation en ligne est cependant illimitée. 

#LIMOS

Du 28 au 30 Juin 2021, Olivier Boissier, Directeur de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne chercheur en Informatique et systèmes intelligents, membre de l’IMT et du laboratoire Limos, présidera : la Conférence Nationale en Intelligence Artificielle (CNIA 2021).

L’objectif de la Conférence Nationale en Intelligence Artificielle (CNIA 2021) est de faire connaitre les dernières avancées dans les différentes disciplines de l’IA, de renforcer les liens et les interactions entre ces différentes disciplines. Elle souhaite ainsi être un point de rencontre pour la communauté IA afin de rapprocher, croiser les recherches disciplinaires et établir des passerelles entre elles.

Virtualisée pour cette édition, elle se tiendra dans le cadre de la Plate-Forme Intelligence Artificielle (PFIA-21).

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#LIMOS

Afin de partager les premiers résultats du projet et d’échanger avec la communauté des chercheurs et des experts du domaine, l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne vous  propose d’assister au webinaire Low-tech recherche-Ingénierie  ( http://lowtri.utt.fr/ ) qu’il coorganise.

Au programme :

• la technique et son application, l’ingénierie, sans lesquelles le concept low-tech n’existerait pas,
• le paradigme proposé par le low-tech pour penser la technique,
• les résultats des travaux du PRC « viabilité des low-tech »,
• la mise en application pour repenser nos méthodes d’expérimentation et de collaboration,
• l’ingénierie low-tech et sa place dans la société.

Le Projet de Recherche Collaborative (PRC)  « Viabilité Low-tech » est un des projets financés par le réseau EcoSD,

L’objectif général du PRC est de réaliser un état des lieux sur le concept de « low-tech », et de proposer un premier cadre d’évaluation des démarches low tech. Vous pouvez retrouver des éléments de résultats ICI.

Le projet a débuté en septembre 2020 pour une durée de 12 mois, et implique plusieurs institutions académiques (Ecole des Mines de Saint‐Etienne, Université de Technologies de Troyes et Université‐Paris 2 Panthéon-Assas) et acteurs économiques (Evea et Orange).

#EVS

Du 30 Juin au 2 Juillet 2021, Maxime Lefrançois, chercheur au département Informatique et systèmes intelligents de l’Institut Fayol, Mines Saint-Étienne, membre de l’IMT et du laboratoire Limos, présidera les 32èmes Journées francophones d’Ingénierie des Connaissances (IC).

Ces journées sont un rendez-vous annuel incontournable depuis 1997, d’abord sous l’égide du Gracq (Groupe de Recherche en Acquisition des Connaissances) puis sous celle du collège SIC (Science de l’Ingénierie des Connaissances) de l’Association française pour l’Intelligence Artificielle (AFIA).

Virtualisées pour cette édition, elles se tiendront dans le cadre de la Plate-Forme Intelligence Artificielle (PFIA-21). Cet ensemble de manifestations constitue un point de rencontre unique et convivial pour la communauté « IA » permettant de rapprocher les différentes disciplines qui la composent et d’établir des passerelles entre elles.

Il est d’ores et déjà à noter que Maxime Lefrançois présidera le comité d’organisation de la Plate-Forme IA 2022 (PFIA 2022) qui se tiendra à Saint-Étienne du 27 juin au 1 juillet 2022.

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#Limos

Lundi 28 juin 2021, Jean-Michel Degeorge, Responsable du département Management responsable et innovation de l’Institut Henri Fayol, Mines Saint-Étienne, membre de l’IMT et du laboratoire Coactis est  invité à participer à une Table ronde sur l’Open innovation organisée par la Fabrique de l’Innovation.

A l’heure où l’on parle d’ »entreprise étendue », venez assister à une table ronde sur cet enjeu d’avenir qui représente une opportunité nouvelle pour les acteurs économiques.
Comment repenser l’organisation structurelle mais aussi managériale de l’entreprise pour relever le défi de l’innovation ouverte ? Innover oui, mais pour quel impact ? Des intervenants issus du monde de l’entreprise et du monde académique apporteront leur vision et leur expérience sur ce sujet.

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#Coactis

Sandrine BERGER-DOUCE est intervenue comme conférencière invitée lors d’un séminaire de l’IRGO (EA4190), laboratoire en sciences de gestion de l’Université de Bordeaux, sur le thème : La RSE est morte, vive la RSE !  

Résumé : La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) dans les PME repose sur un engagement sociétal des dirigeants visant une performance globale inspirée des réflexions du CJD© (Centre des Jeunes Dirigeants). Dans un environnement volatile, incertain, complexe et ambigu, la RSE fait l’objet d’une attention accrue et soulève de nombreuses questions autour de la nécessité de revisiter cette notion. Des approches variées sont pourtant mobilisées depuis une vingtaine d’années allant de stratégies croisant dimensions sociale et environnementale au service d’une innovation durable, à d’autres centrées sur des thématiques comme la diversité ou des situations entrepreneuriales comme la reprise/transmission. Ce séminaire vise à présenter des focus spécifiques sur (1) les labels RSE pour les PME et (2) la transition numérique dans le contexte de la crise de la Covid-19 afin d’éclairer quelques débats actuels sur la RSE.

#Coactis

Les chercheures Michelle Mongo, Nadine Dubruc,  Nahla Salameh Bchara, ont présenté ce 20 mai une communication sur l’ « Impact du télétravail sur la qualité du travail en situation de crise sanitaire : une étude empirique dans une organisation publique ».

Le télétravail est considéré comme une forme organisationnelle du travail qui présente de nombreux avantages tant pour les salariés que pour les entreprises. Or les études empiriques réalisées dans ce cadre et qui tentent d’analyser l’impact des différents mécanismes du télétravail sur la qualité du travail des employés restent relativement limitées. Cette étude tente de contribuer au vide laissé par cette littérature en examinant à partir d’une enquête réalisée dans une organisation publique française de 450 salariés l’impact du télétravail sur la qualité du travail en situation de crise sanitaire. Les résultats obtenus permettent de dresser les premières pistes en matière d’une politique RH relative à l’organisation du travail à domicile en situation de crise sanitaire et « normale ».

#Coactis

Ce 18 mai 2021 a accueilli le rendez-vous privilégié pour initier des échanges entre chercheurs académiques et industriels autour de cette thématique. Les sujets considérés pour cette journée comprennent, sans s’y limiter : l’évolution, la révision, la correction de connaissances formelles.

Pour exploiter la connaissance dans des processus de décision informatisés, il faut la formaliser. La formalisation des connaissances s’intéresse à la représentation des entités du réel et leurs relations plutôt qu’à la gestion et la structuration des données. Bien que la formalisation de la connaissance fasse partie intégrante de la discipline informatique depuis ses débuts, un regain d’intérêt pour les connaissances formelles en tant qu’atout pour les entreprises et les systèmes d’information a émergé grâce à la popularisation des « graphes de connaissances », un concept aux contours flous mais qui porte l’attention sur l’information en tant que connaissances plutôt qu’en tant que données.

Organisée par l’Institut Fayol, Mines Saint-Étienne, cette journée scientifique a réunit 47 chercheurs.

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#Limos

L’Institut Henri Fayol participe au colloque international « smart and sustainable cities conference » organisé par Smart and Sustainable Cities (SSC), l’unité de recherche de la Faculté d’Economie, Gestion & Sciences (FGES) de Lille.

Michelle Mongo animera la session « Innovations contraintes par les ressources : cas du secteur du Bâtiment »

Les communications proposées par L’institut Henri Fayol porteront sur :

• Innovations contraintes par les ressources : trois principaux processus d’innovation dans les pays en développement. Par Marleine Semaan, Mireille Matt et Michelle Mongo
• Vers quelles frontières des low-techs ? Par Audrey Tanguy et Valérie Laforest.
• La diffusion des innovations Grassroots dans les pays en développement : le cas de la Voute Nubienne. Par Marleine Semaan, Mireille Matt et Michelle Mongo.
• Innovation frugale dans la construction durable. Par Christian Brodhag.

Prof. Sandrine Berger-Douce a participé comme conférencière invitée au 88^ème Congrès de l’ACFAS (3-7 mai 2021) organisé par l’Université de Sherbrooke (Québec). Elle est intervenue dans le colloque #610 « L’Humain au cœur de la transformation numérique » sur le thème : « Ouvrir la boîte noire de la transformation numérique : vers une industrie 4.h ? ».

Résumé : Véritable enjeu de compétitivité pour les organisations, la transformation numérique impose aux entreprises de s’adapter aux changements disruptifs profonds en cours en utilisant les compétences digitales pour créer de nouveaux modèles économiques, produits et services. Dans cette aventure, les PME-PMI manufacturières sont parfois démunies en dépit d’une offre d’accompagnement en fort développement. Nous proposons d’ouvrir la boîte noire de la transformation numérique souvent synonyme d’anxiété dans de nombreuses entreprises, notamment en termes d’emplois et de compétences. L’étude d’une PME française spécialisée dans le packaging plastique sert de fil directeur à notre intervention centrée sur les défis de cette mutation en profondeur sur les humains. Partant du principe que « tout est à inventer », la DRH de l’entreprise a d’abord procédé « à tâtons » pour identifier les défis de la transformation numérique, avant de prendre conscience de la nécessité de solliciter un accompagnement extérieur indispensable à la structuration du projet d’entreprise. Parallèlement à la création d’un observatoire interne réunissant des représentants du personnel, elle s’est fortement impliquée dans un programme piloté par l’ANACT sur la place de l’Humain dans l’industrie 4.0, baptisé « Industrie 4.h« .

Mots clés : accompagnement ; GRH ; PME ; transformation numérique.

Michelle Mongo, Enseignante chercheure de l’Institut Henri Fayol, interviendra sur  « l’Afrique post-COVID-19, un exercice de prospective », le 5 mai 2021 dans le cadre des séminaires en ligne organisés par l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD) sur le thème « Pandémie et sociétés durables ».

Le choc de la COVID-19 offre une occasion de se remettre en question, de repenser notre modèle économique. Le tout dans le contexte de la décennie d’action pour atteindre les Objectifs de développement durable, à moins de 10 ans de l’échéance de 2030. Qu’est-ce qui fait que cette fois-ci, un évènement mondial tel que la pandémie de COVID-19 pourrait être le vecteur de changement attendu? C’est notamment à cette question que tente de répondre la plus récente parution de la revue Liaison Énergie Francophonie (LEF), ainsi que ce séminaire en ligne de l’IFDD, qui discutera de certains enjeux fondamentaux pour une reprise économique plus verte.