Elle occupe le poste de chargée de projet sur le Campus Aix-Marseille-Provence depuis le 2 mai 2024. Une mission de vulgarisation scientifique au service de La Rotonde que cette ingénieure de formation remplit avec passion et enthousiasme.
1. En quoi consistent vos principales missions sur le Campus Aix-Marseille-Provence ?
J’accompagne des projets de culture scientifique pour le grand public et les scolaires autour de la microélectronique et du numérique dans le cadre du projet I-NOVMICRO#2. Cela comprend : l’organisation de la Fête de la science, le déploiement du projet Schoolab sur la région PACA (ce programme existe depuis 7 ans à Saint-Étienne et on vient de lancer la première édition dans les Bouches-du-Rhône avec l’objectif d’accompagner 10 classes par an pour une ouverture au monde de la recherche, des sciences et de l’industrie) et enfin le développement de malles pédagogiques à destination des établissements scolaires.
2. De quel support disposez-vous pour les mener à bien ?
Je n’arriverai pas à mener à bien mes différentes missions sans le soutien de mon équipe, des chercheurs du Centre Microélectronique de Provence (CMP) et des étudiants qui m’aident à monter et à animer les projets.
3. Échangez-vous régulièrement avec l’équipe stéphanoise de La Rotonde ?
Je suis en contact permanent avec les membres de l’équipe pour échanger sur des pratiques, des idées et pour la logistique. Je monte aussi régulièrement à Saint-Étienne pour les rencontrer en présentiel.
Je n’oublierai jamais les scolaires dire : « whouaaa, c’était super !«
Sandrine Goulvestre, chargée de projet
4. Quel a été l’événement le plus marquant depuis votre prise de poste ?
La Fête de la science qui s’est déroulée en octobre 2024. Nous avons accueilli 36 classes sur 2 jours et le samedi 250 personnes. Ces trois jours intenses ont été riches en échanges et en rencontres. Au-delà de l’aspect pédagogique, ce fut un beau travail collaboratif entre les membres de l’École : des chercheurs à l’équipe « infrastructure », sans oublier l’implication des élèves, des associations étudiantes comme Illu’mines, AREM et Solidar’ISMIN. Et puis, je n’oublierai jamais les scolaires dire : « whouaaa, c’était super ! »