L’événement s’est tenu pour la première fois sur le site stéphanois le vendredi 30 août 2024. Au programme : des présentations instructives, des ateliers participatifs et de la convivialité.
L’ambiance était studieuse mais néanmoins décontractée dans le parc du site historique de Mines Saint-Étienne lors de la rentrée du Collège d’Ingénierie Lyon Saint-Étienne.
Après un mot d’accueil de Jacques Fayolle, directeur de Mines Saint-Étienne, et la présentation de la nouvelle déléguée générale, Marion Delong, les invités sont entrés dans le vif du sujet en présentant différents projets en mode « speed-dating ».
Recherche, formations, international et communication… une dizaine d’intervenants a successivement pris la parole pour exposer ses projets à l’auditoire en trois minutes.
Une présentation des objectifs du Collège à moyen et plus long terme a ensuite été réalisée par les directeurs des quatre écoles.
L’union fait la force
L’après-midi était consacré à des échanges autour de six thématiques liées aux interactions du Collège avec ses parties prenantes (partenaires académiques, économiques, institutions publiques …) et à son attractivité.
Neuf groupes de travail, encadrés par des animateurs, ont ainsi été constitués en mixant les établissements pour recenser ce qui fonctionne bien dans les écoles et ce qui pourrait être porté par le Collège d’Ingénierie dans l’intérêt général.




Une synthèse de ces discussions a permis d’évoquer de futurs axes de travail afin d’accélérer son déploiement stratégique et opérationnel.
Et Pascal Ray, directeur de l’École Centrale de Lyon, de conclure : « Je retiendrai de cette journée les mots de co-construction, coopération et coordination. Il faut continuer à bien faire à quatre, notamment dans le domaine de l’ingénierie de demain et la décarbonation, sans oublier de s’ouvrir aux autres. »
Pour rappel, le Collège d’Ingénierie Lyon Saint-Étienne a été crée en novembre 2022. Il regroupe quatre grandes écoles (l’École Centrale de Lyon, l’ENTPE, l’INSA Lyon et Mines Saint-Étienne) unies pour répondre aux enjeux liés aux grandes transitions actuelles et à venir : l’industrie et la société décarbonées, l’économie circulaire et la société numérique responsable.