PANORAMINES

L’Inserm rejoint l’incubateur Impulse

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Depuis la création de l’incubateur interuniversitaire Impulse en juin 2000 à l’initiative des Universités d’Aix-Marseille et d’Avignon, plusieurs établissements d’enseignement supérieur, dont l’École des Mines de Saint-Étienne, l’ont rejoint. L’Inserm a, à son tour, récemment rejoint cet incubateur, dans l’objectif « d’encourager nos équipes à concrétiser l’objet de leur recherche », selon Dominique Nobile, son directeur régional. Les détails !

L’Inserm : un partenaire qui a toute sa place à Impulse

En 18 ans d’existence, Impulse a accompagné et financé les projets de création d’entreprises innovantes ayant apporté une valeur ajoutée aux travaux de la recherche publique. Il était donc tout à fait logique que l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), rejoigne à son tour l’incubateur, et ce en totale conformité avec sa politique générale.

« Cette signature règle une situation de fait. L’Inserm est un partenaire important qui a toute sa place. C’est aussi la reconnaissance de la qualité du travail effectué à Impulse. C’est un véritable outil d’accompagnement, de financement et de pré-amorçage, convertissant 80 % de projets en entreprises », estime pour sa part Éric Berton, le président d’Impulse.

141 entreprises générant 800 emplois directs

Sur les 170 projets accompagnés par l’incubateur Impulse depuis sa création en 2000, 141 entreprises ont été créées, générant environ 800 emplois directs et 1 700 emplois indirects. Les 239 millions d’euros de fonds privés cumulés sur les entreprises accompagnées sont une preuve de plus s’il en faut de l’attractivité de ces start-up innovantes.

PanaXium qui fait également partie de l’Incubateur Impulse à Marseille, a rejoint en mai 2016 les sept startups actuellement hébergées sur le Campus Georges Charpak Provence. Ce double soutien contribue à l’aboutissement et la réussite de son projet, situé au cœur des domaines d’excellence de l’École des Mines de Saint-Etienne, qui consiste à concevoir et  fabriquer des composants électroniques pour l’industrie biomédicale.