La mission de Hong Zheng Mahé , correspondante en Chine de l’Ecole à Shanghai, s’est étendue à la prospection d’autres universités chinoises, dans les diverses thématiques qui intéressent l’école. Elle a été accueillie début décembre à l’école.
Parallèlement, Aihua Wieser (photo), professeur de chinois à l’école était sélectionnée pour participer à un séminaire international organisé à Pékin sur les nouvelles méthodes d’enseignement. Nihao!
La visite de notre correspondante en Chine, Hong Zheng Mahé accueillie à l’Ecole le 6 décembre dernier avait pour principal objectif de rencontrer les élèves intéressés par un stage en Chine.
Sa mission de veille à Shanghai s’est élargie et prend une nouvelle envergure avec la prospection d’autres universités et entreprises chinoises.
-*À l’Ecole, les échanges sont surtout déjà bien ancrés entre le CMP et les universités de Fudan et Jiao Tong (accueil de nombreux élèves chinois pour l’option Microélectronique).
-*L’étape suivante voudrait que ces échanges soient élargis peu à peu à d’autres options de l’école et qu’ils s’étendent à des périodes de stages pour nos élèves.
« Si des doutes subsistaient, il faut savoir que ces importantes universités chinoises sont d’un très haut niveau, et dans tous les domaines ! »
Les élèves sont trop souvent focalisés sur des destinations anglophones. Ils sont certes attirés par les pays d’Asie mais ce n’est au final pas une priorité.
Même si plusieurs ICM 2A intéressés ont pu s’entretenir avec elle et déposer leur lettre de motivation, Hong Zheng Mahé encourage vivement les élèves, et leur tuteurs, à prendre contact à nouveau avec elle pour développer de futurs échanges, « C’est en effet une réel atout d’avoir un contact sur place. »
Il est vrai également que les échanges se font surtout dans un sens : en Chine, la complexité des recrutements et des équivalences est bien réelle, mais pas forcément un obstacle selon Hong Zheng Mahé . Démarrer par un stage en Chine est possible et pourquoi pas poursuivre par une année académique simple si certains cursus deviennent accessibles… .
Mais c’ est également un « plus » si les élèves parlent chinois…
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Qu’en pense Mme Aihua Wieser , professeur de chinois à l’école depuis 2006 ? Elle revient d’un séjour en Chine exceptionnel offert par l’Institut Confucius de Pékin à 125 enseignants confirmés du monde entier. Sélectionnée sur dossier, elle a participé à un séminaire international sur les meilleures méthodes d’enseignement du chinois qu’elle va mettre en œuvre dès la rentrée 2011 !
Nouvelles documentations franco-chinoises, méthodes interactives, dictionnaire audio-visuel équipé d’un stylo-lecteur sonore, dvd pédagogique… elle a rapporté plusieurs supports de cours inédits en France, et remis à ces professeurs, pour la plupart exerçant en écoles d’ingénieurs, de commerce ou dans de grandes universités.
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« Il s’agit d’une expérience formidable, dont vont bénéficier nos élèves »
Aihua Wieser enseigne dans les 3 années du cursus ICM (11 élèves en 1A, 8 en 2A et 6 en 3A).
Le niveau de chinois que peuvent atteindre les élèves est important, même pour les débutants dès la 1ère année. Après deux années, ils sont capables de communiquer au quotidien , en conversation de situation, et après 3 ans, d’aborder divers termes techniques par rapport à leurs domaines scientifiques.
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De quoi renforcer l’attractivité et l’apprentissage du chinois et au delà encourager les séjours en Chine ; n’hésitez pas à prendre contact avec le département des langues.
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le 16/12/2010